Nos océans et leurs riches écosystèmes sont de plus en plus menacés, une situation aggravée par l’expansion des terminaux de GNL (gaz naturel liquéfié) et des méthaniers. De l’Amérique latine à l’Asie du Sud-Est, les entreprises qui construisent de nouveaux terminaux de GNL, ainsi que les banques qui les financent, renforcent la dépendance des pays hôtes aux combustibles fossiles, aggravant ainsi la crise climatique et nuisant à la biodiversité mondiale. Malgré les engagements climatiques pris par nombre des plus grandes banques mondiales, celles-ci continuent de soutenir les développeurs de terminaux GNL. Pour être cohérentes avec leurs promesses, les banques doivent cesser tout nouveau service financier aux entreprises développant des terminaux de GNL.